Que savoir sur House of Challenge : le challenge TikTok qui réunit ou divise ?

Que savoir sur House of Challenge : le challenge TikTok qui réunit ou divise ?

Si t’as TikTok, t’as forcément vu passer un live ou un post sur House of Challenge. Ce jeu made in Africa enflamme les réseaux depuis plusieurs jours. Épreuves, buzz, clashs, éliminations, mais aussi vibes de solidarité : ce concept imaginé par Bovann et Tma Crush est en train de devenir une vraie série à suspens. Sauf qu’ici, pas de Netflix : tout se passe en direct sur TikTok.

Alors, phénomène positif ou machine à Drama ? On vous dit tout sur House of Challenge le challenge tiktok qui secoue le continent.

House of Challenge : Un concept simple mais redoutable

Du 1er au 14 avril 2025, 11 influenceurs TikTok venus de plusieurs pays africains se sont retrouvés au Cameroun pour vivre une aventure de folie. L’objectif ? Représenter leur pays, relever des défis, engranger des points et gagner. Chaque jour, celui ou celle qui finit en dernière position, fait ses valises et rentre chez lui. Pas de deuxième chance. C’est brutal, c’est stressant… et ça fait du bon contenu.

Mais House of Challenge, ce n’est pas juste pour le show : la cause est noble. Le ou la gagnante repart avec :

  • 2 millions FCFA en cash ;
  • Un iPhone 16 ;
  • Un iPad ;
  • Et surtout : 1 million FCFA dédié à des dons pour les orphelins du pays vainqueur.

Quels sont les pays en compétition sur la 7e édition de House of Challenge ?

Cette 7e édition se déroule au Cameroun. L’édition précédente était en Côte d’Ivoire. Cette année, House of Challenge a rassemblé des candidats venus de :

  • Cameroun ;
  • Burkina Faso ;
  • Congo Brazzaville ;
  • Kinshasa ;
  • Côte d’Ivoire ;
  • Guinée ;
  • Gabon ;
  • Guyane ;
  • Sénégal ;
  • Togo ;
  • Bénin.

Mais malheureusement pour les fans du Bénin, leur représentant Ricko Officiel a été éliminé en cours de route. Depuis son départ, ils ne sont plus que 4 pays encore en course (Togo, Sénégal, Cameroun, et Burkina Faso). Autant vous dire que chaque défi compte, et les supporters sont chauds comme la braise sur TikTok pour défendre leur influenceur favori.

Une ambiance entre clashs, rires et solidarité

Dans House of Challenge, il y a au programme chaque jour : des jeux, des matchs, des défis en tout genre. Certains sont là pour le show, d’autres pour le mental. Il y a des alliances, des tensions, des moments de gloire et des larmes. Et pour pimenter le tout, des artistes comme Salatiel ou Ko-Cee sont même venus faire un coucou aux challengers. De quoi booster encore plus le buzz.

L’ambiance ? Un savant mélange de télé-réalité, de street vibes et de compétition bon enfant. Certains éliminés créent la surprise, et les fans n’hésitent pas à dire ce qu’ils pensent sur les réseaux. Chacun choisit son camp.

House of Challenge : union ou division ?

Ce qui réunit dans House of Challenge :

  • Le challenge crée une vraie vibe panafricaine.
  • Il met en lumière des influenceurs engagés.
  • Il soutient une cause sociale forte : les orphelins.
  • Il offre une plateforme géante à des créateurs de contenu parfois peu connus hors de leur pays.

Ce qui divise dans House of Challenge :

  • L’élimination quotidienne peut être perçue comme cruelle.
  • Certains dénoncent des partis pris ou des injustices dans les règles.
  • La compétition entre nations peut tourner au chauvinisme, et parfois à des tensions entre communautés.

Où suivre l’aventure House of Challenge 7 ?

Tout se passe en direct sur TikTok, sur la page officielle @houseoffchallenge. Lives, réactions à chaud, confidences, résultats… C’est le rendez-vous quotidien pour tous les fans de contenus à suspens. Les audiences explosent et les hashtags tournent en boucle.

House of Challenge est l’un des events TikTok les plus chauds du moment. Mais derrière les likes et les vues, ce jeu soulève de vraies questions : est-ce qu’on célèbre l’unité africaine ou est-ce qu’on entretient les divisions ? Faut-il tout miser sur le contenu au risque d’en oublier les valeurs humaines ? Une chose est sûre : les réseaux n’ont pas fini d’en parler.

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